Le VCS brave le froid.

10+1 = ONZE, reparti en 3+7. Il en manque UN.
Le onzième s’est joint au groupe des Poursuivants durant la rando. Parti d’Epinay, le biker raccroche le peloton de Poursuivants à hauteur du Bois d’Aigrefoin, dans une pente impossible!!!

Côte impossible, trace Sanglier ou Marcassin, même désillusion !!!!

3° selon certains, 0° pour d’autres, les températures matinales sont basses mais le ressenti sur le vélo est acceptable. Il ne fait pas très froid – juste froid, et même si certains envisagent de raccourcir avant même le départ, il n’en sera pas. Tout le monde finira au club à 12H23, tous ensemble, excepté « The Orcéen biker« , récupéré sur le trajet aller à la piscine d’Orsay, et qui bifurquera dans le Bois Persan sans rejoindre le club. Pas de bulles pour Monsieur.

Les traces sont communes… sur 30km

Le groupe de tête, embourbé dans une trace GPS difficile à suivre, ne bouclera finalement pas la trace de 48km. En effet, le ciel est bas, épais, les signaux satellites capricieux, s’ajoutent à cela les changements de direction, les erreurs d’orientation, trop de paramètres pour mener à bien une trace en cette saison. L’importance d’un biker qui ‘connait’ la trace apparait ici comme primordial dans ces moments où la technologie ne supplante pas l’homme. Votre rapporteur se gargarise, se délecte, de cette supériorité de l’homme sur la machine. Le VTT, c’est nature…

et 6 km de moins pour les Poursuivants.

Radiant et soufflant dans le local, les bikers prennent le temps d’une mousse, d’une tarte sucrée de la veille.
Lavage des vélos, plutôt rapide, la boue n’est pas collante.

Pour le VCS, rapporteur : 26p